Le surmenage et la charge mentale s'accroissent depuis la crise sanitaire. Pourtant, certaines organisations sont épargnées et vivent "quasiment" normalement. C'est à dire avec des semaines denses, des journées parfois à rallonge, des coups de fil intempestifs et une accumulation de bricoles qui perturbent la réalisation du travail. Au final, on en a plein la …